Demain nous allions encore exécutés des pirates. Nous avions passer avec mon équipage la soirée dans un bar en compagnie de filles de joies et autant dire que cela faisais un bien fou. Mais voilà j'avais des responsabilité, j'étais un homme marié, à une femme magnifique et autant dire que malgré mes frasques je l'aimais plus que tout. Je rentrais donc certes à l'aube, mais je rentrais chez moi. Ma femme était en train de prendre son petit déjeuner dans la cuisine, je me glissais derrière elle et l'embrassa dans le cou. Elle ne dit rien, ne bougea pas, je compris qu'elle m'en voulait. Même si je ne lui disais rien, je savais qu'Adrianna était au courant de ce que je faisais le soir avec mon équipage quand nous revenons de quelques jours en mer. Je m'installais donc à ses côté, prit un café et lui dis. C'est de cette façon qu'on accueil son mari qui était en mer depuis plusieurs jours. A son regard, je compris que j'aurais du mal à me faire pardonner, mais elle oubliait une chose, l'homme c'est moi, et c'est moi qui commande ici, pas elle.

Encore une nuit à l'attendre, à attendre que mon mari vienne me rejoindre dans notre lit conjugal, mais en vain. Alors que je prenais mon petit déjeune, je sentis sa bouche se poser dans mon cou, une douce caresse mes préférées, mais voilà, ce matin j'en avais marre, marre d'être prise pour une conne, donc contrairement à d'habitude, je ne dis rien. Il s'installa à mes côtés et me parla, je le regardais avec un regard noir, et ne répondit pas, car j'ignorais si je devais être calme, ou m'énervée, je souriais donc et dis. John, je t'accueillerais comme il se doit quand tu aura enlever cet odeur de rhum et de sexe qui empeste sur toi. Je me levais et pris ma tasse de café pour la mettre dans l'évier. J'entendis la chaise de mon mari grincer sur le sol, cela serait étrange de sa part qu'il m'est écouter. Chose bien évidemment qu'il n'avait pas fait, quand je vis son reflet dans la fenêtre.

Ma charmante épouse, elle avait toujours une longueur d'avance sur moi, la seule qui me tenais surement tête, sauf en public où là avouons-le, elle était l'épouse parfaite. Je me rapprochais donc d'elle, me glissa derrière son dos et lui dis. Pourquoi enlever cette odeur alors qu'elle va revenir dans peu de temps. Je frôlais ma bouche contre son cou, et dis. Ne sois pas jalouse Adrianna, tu sais bien que tu es la seule que j'aime. Elle me repoussa et sortie de la cuisine. Je marchais donc lentement sur ses pas, elle se dirigeait vers notre chambre. Je la suivis donc arrivé à la porte je la rattrapais et la plaquait contre et dis. Allons dont ma chère femme vous n'allez quand même pas allez contre vos obligations du mariage. Elle devait le faire, elle n'avait pas le choix.